Si je gronde un de mes enfants, que se passe t’il pour les autres ?

Les conséquences de l’énervement sur la fratrie.

 

 

Personne n’est parfait et même si vous tentez d’instaurer un mode d’éducation bienveillant dans votre tribu, il peut arriver que vous vous fâchiez après le comportement d’un de vos enfants.

Dans ce genre de situation, en général, votre attention sera portée sur celui de vos enfants qui provoque en vous une irritation, colère… mais qu’en est-il pour les autres enfants de la fratrie à ce moment là ?

 

Un jour, je me retrouve sous l’emprise de la colère après le comportement d’un de mes garçons et voilà que je me fâche ! J’exprime, comme je peux sur le moment, mon mécontentement et je prends mon fils par le bras tout en lui parlant assez fort.

Une fois la tension descendue et le calme revenu dans la maison, mon autre fils vient me parler.

Sa réaction m’a mise face aux conséquences de mon propre comportement.

 

J’ai pris conscience d’une chose sur laquelle tous les parents devraient porter leur attention lorsqu’il leur arrive de se fâcher sur un membre de leur tribu.

 

Je vous invite à découvrir en vidéo de quoi il s’agit.

 

Partagez en commentaires vos questions et témoignages

— Partagez la vidéo avec votre entourage si vous pensez qu’elle peut aider d’autres parents.

 

Prenez soin de vous, de vos enfants et rappelez vous que vous pouvez vous améliorer chaque jour.

Le plus beau cadeau à faire à ton enfant !

cadeau

S’il y a UNE clé à l’épanouissement de ton enfant : c’est bien celle-ci !

Elle se pratique au quotidien, te demandera plus au moins d’efforts selon le caractère de ton enfant et apportera sans aucun doute une valeur ajoutée à ton éducation.

Cultives et prends vraiment soin de la petite flamme intérieure présente en chacun de tes enfants.

Tu sais déjà sans doute qu’il est préférable d’éviter de coller des étiquettes à ton enfant, sous peine qu’il n’adopte ce comportement tant appréhendé !

Sais-tu qu’il est tout autant préjudiciable pour lui que tu le mettes dans un moule pour qu’il se conforme à une norme ?

Il est certain que l’adaptation est une valeur importante à connaître pour ton enfant s’il veut évoluer avec aisance dans sa société.

Cependant, certains enfants ont des particularités qui peuvent déranger et que tu auras probablement envie d’étouffer pour que les choses soient plus simples…pour toi !

Car, oui, ces enfants là dérangent et par là même, leur parent sont souvent soumis au regard des autres. Et cela peut être difficile à gérer pour eux.

Néanmoins, en voulant « trop » conformer ton enfant à une norme, sache que tu prends le risque aussi d’éteindre sa petite flamme intérieure !

Celle qui fait son unicité, sa particularité.

Qui représente ce qu’il a de meilleur en lui et qu’il pourra mettre, à l’âge adulte, au service de la société dans laquelle il vivra justement.

Celle qui fait que ton enfant devenu adulte se sentira pleinement lui-même !

Qu’il se sentira à sa place parce qu’il aura appris à savoir qui il est véritablement et surtout il aura eu « le droit » d’être lui même.

L’expression du plein potentiel de ton enfant mérite toute ton attention.

Accroche toi, si c’est difficile et rappelle toi que ta priorité peut être d’accompagner ton enfant vers son épanouissement et non la reconnaissance de ton entourage !

Les 4 erreurs à ne pas commettre face à la violence à l’école.

Comment se positionner pour que votre enfant ne soit pas une victime ?

A l’école comme dans le monde des adultes on trouve des enfants au comportement très variés.

Certains peuvent être très calmes et posés, d’autres au contraire vont être plutôt « bagarreurs ».

Ils n’en restent pas moins des enfants mais lorsque le votre rentre à la maison en se plaignant de son camarade qui le tape, il a besoin de vous pour savoir comment se protéger.

Je vous propose, à travers cet article, de lister les 4 erreurs à éviter et de vous dévoiler ensuite la clé pour que votre enfant ne soit pas victime des autres à l’école ni bourreau.

1 – Première erreur : « Simon est méchant »

Vous entendrez souvent dire « Simon est méchant, il me tape tout le temps ».

Bien sûr que de prime abord, on a envie d’étriper le fameux Simon et de dire à notre enfant « ben oui, il est méchant s’il te tape ».

Mais on parvient à prendre du recul et à dissocier Simon de son comportement.

Alors on rectifie « non, c’est le COMPORTEMENT de Simon qui est méchant, pas lui. Ce garçon est forcément gentil mais peut être qu’il y a quelque chose dans sa vie à lui qui le pousse à agir comme ça à l’école avec ses camarades et qu’il ne sait pas faire autrement. »

Il est important de faire comprendre à votre enfant qu’il n’est pas utile de mettre une étiquette sur un autre enfant ni de le définir à travers son comportement.

Si lui, un jour se retrouve de l’autre côté, il aimerait bien que ses camarades le comprennent et lui laisse la chance de changer. Car c’est bien en évitant de cataloguer un enfant à travers son comportement qu’on lui permettra de changer.

Au contraire, en l’enfermant dans une case « méchant », l’enfant n’a aucune chance de réussir à faire autrement puisqu’il entend tout le temps ce terme « méchant » pour le définir.

2- Deuxième erreur : « Vas le dire à la maitresse »

J’ai constaté qu’à l’école, les enfants sont formatés pour aller voir la maitresse quand quelque chose les dérange.

C’est vrai qu’à 2 ans et demi pour les plus petits, il n’est peut être pas évident de proposer autre chose.

Sauf que l’enfant qui garde l’habitude d’ « aller le dire à la maitresse » pendant toute sa maternelle (donc jusqu’à environ 6 ans) va tomber de haut en entrant à l’école primaire où les enseignants ont bien une attitude complètement différente face au rapport d’un enfant.

Sans oublier que les enfants entre eux, vont vite repérer celui ou celle qui va toujours voir la maitresse pour se défendre et il ou elle sera très vite catalogué(e) comme « rapporteur/se » et donc victime des moqueries de ses camarades.

D’autre part, j’ai personnellement constaté dans mon quotidien que mon enfant venait me voir également pour me signifier quand son frère l’embête.

Il vient me faire son rapport, comme on le lui demande à l’école. Sauf qu’il n’apprend pas à gérer la situation par lui même et c’est la que ça me pousse à trouver une solution plus enrichissante pour lui.

3- Troisième erreur : « Madame, mon fils me dit que ce garçon le tape »

Aller voir la maitresse pour signaler d’adulte à adulte que son enfant est embêté par un autre est très délicat.

La maitresse a probablement déjà conscience de ce fait mais elle ne peut sans doute pas à elle seule, changer le comportement d’un enfant.

L’enfant évolue à l’école mais aussi dans son cercle familial, amical, d’activité extra scolaire…

En discutant de cette situation avec les parents de mon entourage, j’ai constaté également que cette mesure ne change pas grand chose au problème.

4- Dernière erreur : « défends toi ! »

Du coup, on peut expliquer à son enfant qu’il doit apprendre à se défendre.

Ce n’est pas le terme de « défense » qui est une erreur ici mais le manque d’explications.

Un enfant qui se voit dire par ses parents « défends toi » va faire quoi à votre avis ?

Il va très certainement rendre les coups qu’il reçoit à son camarade et la situation risque de s’envenimer encore davantage.

Comme je dis souvent à mes garçons « la violence engendre la violence »

Il se peut même qu’il appelle ses copains/copines et qu’ils se lient à plusieurs pour rendre au fameux Simon la monnaie de sa pièce en pensant faire le bon choix puisque ses parents lui ont dit de se défendre !

5- Mais alors, quelle est la solution ?

° Si votre enfant vient vous voir en vous disant qu’un camarade lui fait mal, je vous invite à toujours à l’encourager à formuler son ressenti et exprimer son désaccord.

« Arrête de me taper, tu me fais mal, je ne suis pas d’accord pour que tu me tapes »

Cela peut paraitre superflu mais c’est à force de dire ce qu’il ressent et d’affirmer ce qu’il pense que votre enfant développera de façon naturelle sa confiance en lui. De plus, cela lui permet d’apprendre à mieux se connaitre.

Si cela ne suffit pas pour dissuader l’autre enfant à cesser de l’embêter, encouragez le à se défendre en lui expliquant que se défendre ne signifie pas « rendre les coups » mais les parer, les contrer, les éviter dans le but de SE PROTÉGER.

Si le camarade se rend compte que l’enfant ne réagit plus comme une victime, il cessera rapidement de s’en prendre à lui.

Pour aider votre enfant à aller vers cette attitude, s’il ne sait pas trop comment s’y prendre, vous pouvez lui proposer de l’inscrire à un sport de combat par exemple.

° Si votre enfant ne vous parle jamais de situations qui lui posent problème à l’école, je vous invite grandement à l’interroger régulièrement :

« Comment ça se passe à l’école en ce moment ? »

« Est ce que tu joues bien à la récréation ? »

« Est ce qu’il arrive parfois que quelqu’un t’embête ? »

« Et que fais tu dans ces cas là ? »

Certains enfants parleront plus facilement que d’autres alors ne vous fiez pas uniquement à ses paroles.

Il est souvent bon de tâter le terrain de temps à autre pour savoir comment il va et de porter votre attention sur ses jeux à la maison. La plupart des enfants qui ont des soucis de camaraderie à l’école les rejouent à la maison avec leurs jouets.

Comme d’habitude, il est important de trouver un juste équilibre pour ne pas s’inquiéter de façon disproportionnée ou faire peur à votre enfant.

Il s’agit juste d’être vigilant(e) et de rester en lien avec votre enfant dans sa globalité c’est à dire à travers ce qu’il vous dit mais aussi à travers tout ce qu’il fait qu’on appelle le langage non verbal.

Partagez en commentaire sous l’article vos réactions, vos témoignages.

Partagez cet article autour de vous si vous pensez qu’il peut être utile à d’autres parents.

Continuer à vous améliorer !

Une belle habitude à transmettre à ton enfant !

amour

Depuis que je me penche sur le développement personnel, je découvre des choses que je trouve géniales et que j’aime mettre en place dans mon quotidien.

Je fais un tri régulièrement pour ne conserver que ce qui a une réelle utilité et un impact fort.

Lorsque je trouve des pépites, j’adore les transmettre à mes enfants et à toi aussi.

C’est pourquoi, j’ai choisit de t’en partager une ici !

Je vais te parler d’un terme « à la mode » qui peut te faire peur ou au contraire éveiller ta curiosité je l’espère.

Il s’agit de la pratique de la GRATITUDE.

Depuis quelque temps maintenant, j’ai mis en place ce nouveau rituel dans ma tribu. 

Et cela est très simple à réaliser pour toi aussi.

J’ai confectionné de petits livrets (très simples avec des feuilles blanches pliées et une feuille cartonnée colorée) pour chacun de mes enfants et moi même.

Chaque soir, nous nous installons et prenons 5 minutes pour y écrire nos petits plaisirs quotidiens.

Il y a plusieurs avantages à ce rituel : 

  • Cultiver le positif 
  • Se coucher et avoir en tête les bons moments de la journée
  • Faire travailler la mémoire de ton enfant puisqu’il doit se rappeler de sa journée
  • Connaître ce qui compte vraiment pour ton enfant
  • Partager un moment de complicité
  • Renforcer le lien qui vous unit

Je t’invite à tenter l’expérience et observer le résultat.

Je te garantis un moment de qualité avec tes enfants.

Raconte, en commentaires, ce que ça a donné pour toi.

Ce que tous parents devraient savoir pour aider son enfant dans sa scolarité

Si tu le souhaites, tu peux écouter directement le podcast de cet article ci-dessous :

Il se peut que tu rencontres des difficultés à guider ton enfant dans ses apprentissages, notamment scolaires.

Dans cet article, je te partage des points clés que j’ai découverts et qui peuvent être très utiles pour aider ton enfant.

1 – Généralités

Dans notre société actuelle, le système scolaire est mis en place sous une certaine forme. Certains enfants vont réussir à y évoluer de façon très naturelle et pour d’autres, ce sera une vraie galère !

Ces derniers vont être étiquetés d’un « retard dans leurs apprentissages » ou d’un « manque de concentration » et j’en passe.

En réalité, rassures toi si tu as un enfant qui ressemble à cette description, ce n’est pas tout à fait juste.

devoirs

Le système scolaire est basé sur la transmission d’informations qui est recevable pour des enfants posés, capables d’apprendre dans le calme, en restant assis. Il favorise un apprentissage de la langue et des mathématiques selon UNE seule méthode.

Or, chaque enfant est unique et il existe scientifiquement des différences chez chacun de nous dans nos capacités d’apprentissage.

2 – Les différents hémisphères cérébraux

Les études scientifiques menées depuis le XIXème siècle ont mis en évidence l’existence de deux hémisphères dans le cerveau humain.

Chacun d’entre eux aurait ses fonctions bien spécifiques et chaque personne, donc chaque enfant, aurait une prédominance de l’un de ses deux hémisphères cérébraux.

Ceci expliquerait, en partie, la différence de capacité d’apprentissage chez les enfants.

A) L’hémisphère gauche

Selon les scientifiques, cet hémisphère serait le plus ancien et celui qui a été longtemps le plus répandu. C’est la raison pour laquelle notre société actuelle se serait construite un fonctionnement adapté à celui de l’hémisphère gauche.

Pour faire simple, un enfant ayant un hémisphère gauche « dominant » aurait les traits de personnalité suivants :

  • une logique développée,
  • un esprit d’analyse,
  • une forte capacité à résoudre les problèmes de mathématiques,
  • une capacité à prendre des décisions (faire des choix),
  • une aptitude à la lecture et à l’écriture
  • un comportement plutôt posé

Il s’agit souvent d’enfants adaptés au système scolaire.

B) L’hémisphère droit

A l’inverse, les personnes ayant plutôt un « cerveau droit dominant » (j’utilise volontairement des guillemets car des études scientifiques sont toujours en cours à ce sujet), sont de plus en plus nombreuses depuis quelques années.

Il s’agit d’enfants dont les traits de personnalités sont les suivants :

  • une intuition développée,
  • une intelligence émotionnelle marquée,
  • un sens artistique, créatif développé,
  • une bonne orientation dans l’espace (réalisation aisée de puzzle),
  • une vision globale des choses : sensibles à une ambiance plus qu’aux détails
  • un besoin important de mouvement

Ce sont ces enfants là qui, en général, ont davantage de mal à s’adapter au système scolaire car ce qui leur est demandé dépasse leur capacité.

Ils sont donc souvent contraints d’utiliser énormément d’énergie pour être dans le moule de l’école.

C) Petits tests

Pour déterminer l’hémisphère « dominant » chez ton enfant tu peux réaliser quelques tests assez simples :

  • demande à ton enfant de coller son oreille contre un mur. S’il colle l’oreille droite, c’est son cerveau gauche qui domine et inversement.

Pour rappel, les hémisphères cérébraux commandent les parties du corps qui lui sont opposées. Ainsi, l’hémisphère gauche commande le côté droit et l’hémisphère droit commande le côté gauche.

  • demande à ton enfant de se positionner debout, les pieds parallèles. Place toi derrière lui et pousse le doucement en avant. S’il pose son pied droit en premier, c’est son hémisphère gauche qui domine et inversement.

3 – Ce ne sont pas les capacités de ton enfant qui sont en cause !

Ces premiers éléments d’information, peuvent déjà te guider à comprendre le comportement de ton enfant.

Ils te donnent une belle piste de réflexion que je t’invite à poursuivre.

Il est demandé aux enfants de se plier à ces fonctionnements mis en place (notamment à l’école) et s’ils n’y arrivent pas, ils seront étiquetés.

Maria Montessori (pour ne citer qu’elle), avait déjà mis en évidence le fait qu’il serait intéressant que l’adulte s’adapte à l’enfant pour lui permettre l’accès à l’information. Et non l’inverse !

Or l’adulte oublie encore trop souvent qu’il est, par nature, un être d’évolution.

Et face à des comportements déroutants, gênants ou « non conformes », il préfèrera rester figé plutôt que de prendre son courage à deux mains et se remettre en question.

4 – Les différents types de mémoires

Je vais te parler ici des trois types de mémoires utiles à connaître pour guider ton enfant dans ses apprentissages

A) La mémoire visuelle

Comme son nom l’indique, elle retient davantage les informations qui seront visualisées par l’enfant.

Si ton enfant a une mémoire à tendance visuelle, lorsque tu lui demanderas de te raconter une balade en forêt (par exemple), il te décrira ce qu’il a vu.

L’enfant concerné apprendra plus facilement en lisant ces leçons ( plus précisément en les voyant écrites). Inutile de les lire, il n’en retiendra pas grand chose !

B) La mémoire auditive

Cette mémoire est basée sur les sons, tu l’auras deviné.

Un enfant ayant une mémoire plutôt auditive va te décrire la fameuse balade en forêt (comme dans notre exemple cité plus haut), en te parlant des sons qu’il a entendu, des bruits, des chants des oiseaux…

Si ton enfant est concerné, tu pourras l’aidé à retenir ses leçons en les lui lisant justement. Inutile de le forcer à rester 3 heures devant sa feuille, il aura beaucoup de mal à retenir quelque chose.

Une fois que tu comprends ce fonctionnement, tu peux guider plus facilement ton enfant et aller bien plus vite dans les devoirs.

De même, tu peux sortir des fausses croyances qui hantent ta tête et te disent que ton enfant ne met aucune bonne volonté à faire ses devoirs !

C) La mémoire kinesthésique

Elle concerne les enfants qui ont une facilité à retenir ce qu’ils ressentent.

En te racontant la balade en forêt, ton enfant te parlera surtout de ses émotions. Il avait peur, il se sentait bien, il faisait chaud ou froid…

Avec ce type de mémoire, tu pourras aider ton enfant en lui racontant ces leçons et en essayant de lui faire ressentir les informations.

C’est probablement le plus délicat, mais ce n’est pas la dominante ! Ouf !

5- Appliquer ces connaissances pour aider ton enfant

Si tu parviens à déterminer les comportements dominants de ton enfant, il ne s’agit pas de le mettre dans une case.

Garde toujours à l’esprit qu’un être humain est changeant et qu’il utilise TOUJOURS ces deux hémisphères cérébraux malgré tout.

Par contre, ces quelques notions peuvent t’aider à comprendre de quelle manière ton enfant sera réceptif à ses apprentissages.

On a vu de quelle manière tu peux utiliser ta connaissance des différents types de mémoires.

Concernant les deux hémisphères cérébraux, ces informations peuvent te permettre de comprendre si ton enfant à des difficultés dans la réalisation par exemple de ses exercices de mathématiques (il n’est peut être pas « hémisphère gauche tout simplement).

De même pour l’apprentissage de la lecture ou de l’écriture.

Tu peux mieux comprendre ton enfant également si tu le vois sans cesse bouger lorsqu’il apprend ses leçons. Il a peut être tout simplement besoin du mouvement pour intégrer l’information.

Il existe des moyens que tu peux utiliser pour développer ces capacités dont ton enfant auraient besoin. Je te les partagerai dans un prochain article dès que j’aurai terminer mes recherches.

En attendant, je te propose de déjà prendre conscience de ces informations et de t’armer de patience et de bienveillance envers ton enfant.

D’une façon générale, ton enfant aura envie d’apprendre. Alors s’il « pêche » quelque part, c’est peut être juste qu’il ne peut pas tout développer en même temps !

Il a sans aucun doute d’autres capacités que tu peux explorer et cultiver avec lui pour l’aider à cultiver sa confiance en lui.

Par exemple, son côté créatif : à travers le dessin, la peinture, la recherche de solutions dans la vie quotidienne, l’expression de ses émotions, son intuition…

Comment apprendre à vos enfants à bien communiquer entre eux ?

Réduire les conflits du quotidien entre vos enfants passe par l’apprentissage de la communication.

Cette notion de « bien communiquer » n’est pas forcément récente mais commence tout juste à se développer au sein du foyer.

Les adultes qui n’ont pas fait d’études ayant un rapport avec la communication, n’ont sans doute jamais appris les bases de celle-ci.

Cependant, communiquer en se respectant soi-même et considérant l’autre s’apprend !

1) Appliquer les bases en tant qu’adulte.

La première chose à faire pour enseigner à vos enfants la meilleure façon de communiquer est de commencer par leur montrer l’exemple.

Voici quelques notions importantes à garder l’esprit :

° Chacun est responsable du message qu’il envoie.

Cela signifie que celui qui dit une phrase doit en assumer les conséquences et ne pas rejeter la faute sur l’autre.

Envoyer un message et en prendre l’entière responsabilité c’est préserver la liberté de l’autre.

Cela se fait en commençant ses phrases par le pronom sujet « JE » et non « TU ».

Exemples :

  • « TU m’agaces quand TU parles de cette façon ! » devient « JE me sens agacé(e)e quand JE t’entends parler de cette façon ! » 
  • « TU es vraiment pénible lorsque TU embêtes ta soeur tout le temps ! » devient « J’ai besoin de savoir que ta soeur peut jouer tranquillement et JE me sens irrité(e) quand JE te vois l’embêter comme tu le fais »

Le fond du message reste le même, vous dites ce que VOUS pensez mais en prenant vos responsabilités et sans accuser l’autre.

° L’autre reçoit le message à sa façon.

En envoyant un message, nous avons tous consciemment ou non des attentes. Cela ne signifie pas que l’autre réagira comme nous l’attendions et il est important de l’accepter pour que la communication reste respectueuse.

En communication, on dit qu’entre le moment où le message est envoyé (=quand vous dites quelque chose) et le moment où le message est reçu (=quand l’autre réagit), il y a de nombreux éléments qui peuvent parasiter la communication (le bruit, le déroulement de la journée, les pensées, les contrariétés, l’amour…)

Il n’est donc jamais certain à 100% que le message que vous envoyé soit reçu de la même façon.

Une bonne manière de le vérifier est de demander à l’autre premièrement de vous faire un signe ou dire un mot pour « accuser réception du message » et deuxièmement de demander une reformulation.

Exemples :

  • Demande : « Tu pourras ranger tes chaussures s’il te plait ! »
  • Traduction : « J’ai besoin d’ordre ! »
  • Réponse : « Oui oui »
  • Reformulation : « Tu m’as demandé de mettre mes chaussures… »
  • Annonce : « Ce soir, c’est moi qui choisit l’histoire (et non vous comme dans nos habitudes) »
  • Traduction : « J’en lis UNE seule et pour qu’il n’y ai pas de jaloux, JE choisis »
  • Réponse : « Chouette, l’histoire ! On va choisir nos livres ! » …

° Les messages peuvent être envoyés de différentes façons

Une fois que vous aurez pris l’habitude de commencer vos phrases par « JE » et demander une reformulation pour vos demandes importantes, vous pourrez vous perfectionner en utilisant des tournures positives.

Prenez conscience, dans un premier temps du nombre de négations que vous mettez dans vos phrases !

« Ne fais pas si ! » ; « Interdit de faire ça ! » ; « Ne parle pas comme ça ! »…

Rendez-vous compte comme l’impact négatif de ces phrases vous use et assume vos enfants.

Puis amusez-vous à dire ce que vous avez à dire en tournant vos phrases positivement.

« Tu peux jouer par terre plutôt que sur la table neuve s’il te plait ! » ; « Tu veux bien utiliser des mots plus doux pour me parler » ; « Tu peux parler plus doucement » …

Avec des tournures positives, vos phrases conservent le même fond et sont beaucoup plus attrayantes !

° Privilégiez le dialogue aux gestes

D’une façon générale, nous avons tous plus ou moins tendance à retirer un objet des mains de nos enfants s’il ne veut pas nous le donner, à nettoyer leur table lorsqu’ils renversent de l’eau, des aliments…, à faire à leur place quand ils n’y arrivent pas même s’ils n’ont rien demandé …

Pour apprendre à nos enfants à se respecter entre eux et à ne pas arracher des mains de l’autre, ne pas faire les choses à sa place ou laisser l’eau couler tranquillement en le regardant, il est vraiment nécessaire que nous fassions un effort pour leur montrer l’exemple !

Alors relevez le défi d’utiliser plus de mots que de gestes dans votre quotidien et vous verrez que vos enfants vous imiterons.

2) Réajuster entre vos enfants

Une fois ces bases posées et intégrées dans vos habitudes, observez vos enfants et réajustez si besoin.

Vous pouvez établir une liste avec eux si cela vous semble utile pour rappeler les bases du fonctionnement de votre maison.

Par exemple :

  • On demande ce qu’on veut au lieu de le prendre des mains de l’autre 
  • On demande si on veut prendre un jouet qui est au grand frère
  • Si on est très en colère contre sa petite soeur, on peut aller s’isoler un instant dans sa chambre et dire tout ce qu’on veut à ses doudous ou son coussin de colère (mais pas directement à sa petite soeur)
  • On peut, quand le calme est revenu dans le corps, aller voir sa petite soeur et lui dire ce qui nous a vraiment embêté pour qu’elle en prenne conscience (même petite). L’enfant utilisera ici le « JE » pour ne pas être accusateur.
  • Si on n’aime pas la façon de s’habiller du petit frère, on se le dit dans sa tête parce que sinon ça peut faire de la peine.

En appliquant ces bases de communication, vous devriez vous retrouver entouré(e) de petits pro en communication !

Evidemment, il est toujours important de lâcher prise et de ne pas TOUT reprendre ni de vous mettre la pression en tant qu’adulte !

Trouvez votre juste équilibre et amorcez le changement avec douceur pour qu’il devienne votre nouveau mode de fonctionnement.

Je suis convaincue que plus il y a de communication, plus il y a de paix ! L’objectif zéro conflit étant utopique !

Dites moi en commentaires votre façon de communiquer dans votre famille. Est ce que vous appliquez déjà certaines de ces bases ? Avez-vous commencé à les mettre en application et observé des changements ?

Comment aider votre enfant à développer sa confiance en lui ?

La confiance en soi se développe de plus en plus quand l’enfant ressent à l’intérieur de lui une force sur laquelle il peut compter dans n’importe quelle situation.

 

Cela se travaille au quotidien parce que personne ne naît avec et même si l’entourage de l’enfant est bienveillant, la confiance en soi est régulièrement mise à l’épreuve.

Dans la relation avec les copains – copines, dans le travail scolaire, avec les parents, dans les activités extra scolaires…

 

Ce que je propose dans cet article est une méthode très simple qui peut être appliquée par tous les parents et aussi souvent que nécessaire !

 

LA ROUTINE DU SOIR

 

Le soir, vous avez sans doute l’habitude de vous installer confortablement avec vos enfants et de leur lire une histoire.

Vous choisissez un livre adapté à l’âge de l’enfant et rempli d’images pour son plus grand plaisir !

 

Et si vous transformiez un peu cette routine pour transmettre à vos enfants des rudiments de méditation, très utiles pour lui apprendre à développer sa confiance en lui ?

 

 

Rassurez vous, c’est assez simple à mettre en pratique puisque je vous ai écrit un texte que vous allez pouvoir imprimer et lire à vos enfants pour les guider.

 

LES AVANTAGES

 

La méditation est, selon moi, une pratique que tout le monde devrait intégrer dans son quotidien tant ses bienfaits sont multiples et visibles rapidement.

 

Elle permet au corps ET à l’esprit de se détendre et ainsi de se centrer sur ce qui se passe à l’intérieur.

Il est alors possible de canaliser ses pensées et de simplement les laisser passer sans s’y arrêter !

 

La méditation permet à chacun d’avoir accès à son monde intérieur et de développer ses capacités individuelles, ses forces.

 

 

Il n’est pas nécessaire de pratiquer 1h par jour pour en apprécier les bienfaits, ce qui compte c’est LA RÉGULARITÉ.

Enfin, elle permet de calmer son esprit qui se retrouve souvent pris dans un torrent d’informations, de situations difficiles, contrariantes ou conflictuelles.

 

En effet, il existe un endroit à l’intérieur de chacun de nous où le calme règne en maître et il est si bon de pouvoir s’y connecter régulièrement pour développer son énergie, sa vitalité, sa disponibilité pour l’apprentissage, son équilibre tout simplement.

 

En transmettant cette découverte à votre enfant, vous avez entre vos mains la possibilité de lui transmettre une habitude saine et épanouissante. Et qui sait, il l’a gardera peut être très longtemps et cela lui rendra de grands services !

 

Je vous propose d’inviter vos enfants à s’installer confortablement allongés dans leur lit, à fermer leurs yeux (de préférence) mais sans rien forcer. L’idée est que l’enfant prenne du plaisir donc pas d’obligation.

 

Expliquez leur que ce soir, vous allez leur lire une histoire un peu spéciale. Une histoire dans laquelle il n’y a pas d’image à regarder mais des images qu’ils vont pouvoir inventer eux même en fermant les yeux !

 

 

Si vous le souhaitez, vous pouvez allumer une bougie et/ou mettre une musique douce de relaxation en arrière fond.

Commencez à présent votre lecture…

 

Je vous propose un texte ici que vous pouvez imprimer. Vous avez la possibilité bien sûr de le transformer ou de rajouter des choses, à votre guise. Laissez parler votre intuition, faites vous confiance.

 

Si votre enfant vous parle pendant la lecture, posez une main sur son thorax en continuant votre lecture pour l’inviter à revenir à l’écoute et l’imagination.

Ce texte va guider vos enfants à ressentir leur soleil intérieur et ainsi à se sentir plus forts dans leur quotidien.

Cette force qu’ils vont acquérir grâce à votre lecture va impacter positivement vos relations.

 

 

Et vous pouvez même y prendre goût à votre tour !

 

Cliquez sur l’icône « PDF » pour accéder au texte et pouvoir l’imprimer :

 

Pour la réalisation de ce texte, je me suis inspirée du livre de Stéphanie Couturier « Aidez votre enfant à prendre confiance en lui ».

 

 

Pensez à partager en commentaires vos expériences, vos sensations et le retour de vos enfants…et dites moi si ça vous a plu ?

Comment veiller à l’équilibre de vos enfants grâce à l’alimentation ?

Ce n’est plus un secret : l’alimentation joue un rôle essentiel dans l’équilibre du corps.

Il existe certains aliments qui ont des conséquences plus que néfastes sur les enfants.

RAPPELS

 

Celui qui remporte la palme d’or est bien sûr LE SUCRE BLANC.

  • Il me semble important de rappeler ici que sa consommation excessive entraîne notamment une augmentation du cortisol dans le sang.

Cette hormone est celle qui augmente également en cas de grand stress et qui est responsable du sentiment d’insécurité chez l ‘enfant.

J’en parle un peu plus en détail dans un autre article « Comment créer un climat favorable à l’épanouissement de votre enfant ? »

Lire l’article ici

  • Il reste également en suspens la question de sa responsabilité dans l’excitation des enfants.

Cette hypothèse est encore à l’étude mais fortement soupçonnée.

OU LE TROUVER ?

Voyons ensemble une liste des aliments dans lesquels il se trouve et que les enfants adorent !

Le sucre pur :

  • Les bonbons
  • Le chocolat
  • Les gâteaux
  • Le sucre blanc en poudre
  • Les yaourts
  • Les plats préparés
  • La pâte à tartiner
  • Les confitures
  • Les jus de fruits
  • Le chocolat en poudre

Le sucre caché sous forme d’amidon :

  • Le pain blanc
  • Les pâtes blanches
  • La farine de blé blanche

QUELQUES ALTERNATIVES

Pour prendre soin de vos enfants, il suffit de remplacer certaines habitudes par d’autres très simples.

1 ) Remplacer le sucre blanc présent dans vos placards par du sucre de canne complet non raffiné.

Il contient tous les nutriments de la canne à sucre excellents pour l’organisme.

Sa couleur peut sembler « moins jolie » pour les enfants parce qu’il est marron mais vous pouvez les encourager à y goûter grâce à son odeur délicieuse !

Vos enfants aimeront forcément !

2) Faites vos yaourts vous même

Avec du lait de brebis ( garantissant une meilleure digestion, même chez les enfants ) de préférence et ajouter y du sucre de canne complet.

Vous pouvez également acheter du fromage blanc et procéder de la même façon.

Limitation de la consommation de sucre blanc assurée !

3) Faites vos gâteaux

Avec de bons ingrédients, ils seront meilleurs pour votre santé et celle de vos enfants.

Cela peut être aussi l’occasion de partager un bon moment avec vos enfants et d’ajouter plein d’amour dans vos gâteaux pour soient meilleurs.

Vous pouvez également limiter la consommation de gâteaux au goûter par exemple, en proposant en premier lieu un fruit frais à votre enfant.

De cette façon, son envie de sucre sera déjà en partie rassasiée et de façon bien plus saine.

Favorisez les fruits secs également, très bon pour la santé et riche en calcium pour certains comme l’amande !

4) Remplacer votre farine blanche par une autre farine.

Il existe une quantité infinie de farine qui respecte les nutriments essentiels à l’organisme de votre enfant.

Vous pouvez alterner et prendre plaisir à faire de nouvelles découvertes gustatives !

Il existe la farine complète ou semi complète, la farine de coco, de châtaigne, de sarrasin, d’épeautre…

Vous avez le choix !

5) Remplacer les jus par des smoothies

Les smoothies sont très simples et rapides à faire. Ils se composent des fruits préférés de vos enfants et sont beaucoup plus sains car ils ne contiennent que le sucre naturellement présent dans le fruit. Il suffit d’y ajouter du lait d’amande, de coco, de cacao…

Vous pouvez aussi remplacer le jus directement par un fruit. C’est une alternative encore plus rapide.

6) Attention au chocolat en poudre.

Les chocolats en poudre tout prêt, sont bourrés de sucre.

Il existe du cacao pur riche en nutriments et excellent pour la santé des enfants.

Vous pouvez y ajouter un peu de sucre de canne complet si votre enfant le trouve trop amer.

7) Le pain peut être consommé de préférence lorsqu’il est fait avec de la farine qui conserve le blé dans sa globalité.

Tout comme la farine, il existe une multitude de variétés : le pain complet, le pain d’épeautre, le pain de maïs, le pain aux fruits (figue, noix, abricot).

Il est également possible de le consommer sans gluten, c’est juste une habitude.

8) Les pâtes, tout comme le pain et la farine peuvent être remplacées par des pâtes complètes ou semi complètes.

Le blé étant respecté dans sa globalité, toutes les couches du germe sont préservées, il maintient ses qualités nutritionnelles.

Ainsi il n’y a pas d’ajout de sucre dans ce type de pâtes.

Comme tout changement, je vous invite à y aller en douceur pour ne pas créer une révolution chez vous !

Si vos enfants sont petits, il est assez simple de leur donner de bonnes habitudes saines tôt.

S’il sont un peu plus grands et déjà habitués à leurs sucreries, il suffit de remplacer les aliments un par un, de laisser un temps d’adaptation à vos troupes et de maintenir le cap.

Bien sûr, les bonbons et la pâte à tartiner (pour ne pas citer son nom!), restent délicieux et il ne s’agit pas forcément de les supprimer à vie, mais en limitant leurs consommation, vous limiterez les dégâts !

Et ils seront d’autant meilleurs quand vous vous accordez un plaisir mesuré !

 

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Comment cultiver l’amour avec ses enfants ?

Comme tout lien, celui qui vous unit à votre enfant doit être entretenu.

Pour rester épanouit et harmonieux, ce lien a besoin d’être cultivé au quotidien.

Votre enfant grandit et la relation qui vous unit n’a pas fini d’évoluer.

Vous pouvez entretenir votre relation par de simples gestes, dont voici une liste non exhaustive qui vous donnera quelques idées :

1 – Favorisez les CÂLINS.

Le contact avec votre enfant est la première source d’amour qu’il y a entre vous.

Pas de mots, juste un bon gros câlin qui vient du fond de votre coeur avec toute votre tendresse, votre affection, votre amour.

Les occasions sont multiples dans la journée, que vous soyez en période scolaire, en week end ou en vacances.

Alors n’hésitez pas ! Dès que l’occasion se présente, entourez votre enfant de tout votre amour.

Ce contact favorisera la sécrétion d’ocytocine, hormone du plaisir et renforcera le lien qui vous unit.

Trouvez un juste milieu pour ne pas l’étouffer non plus !

2 – Dites lui « JE T’AIME».

C’est tout bête mais c’est tellement agréable !

Quel plaisir d’entendre ces mots doux de la bouche de ses parents.

Pas la peine de le lui dire à longueur de journée, juste quelques fois par jour suffisent.

Pensez à varier les moments de sorte que cela ne devienne pas un automatisme et enlève l’authenticité de vos paroles.

3 – ECRIVEZ des mots doux.

Vous pouvez laisser des mots doux à votre enfant : sur son lit qu’il découvrira au moment d’aller se coucher, sur son bol pour qu’il le voit à son réveil ou sur le miroir de la salle de bain !

Si votre enfant ne sait pas lire, faites un dessin avec des coeurs ou n’hésitez pas à le lui expliquer tout simplement.

Il sera surpris et apprendra par la même occasion qu’il y a plusieurs façon de dire « je t’aime ».

4 – RESPECTEZ LES CHOIX de votre enfant.

Aimer un enfant signifie l’accepter tel qu’il est et surtout dans la différence.

Vous l’aiderez à grandir et à se construire en respectant le plus possible sa volonté.

Cela ne signifie pas lui laisser faire tout ce qu’il veut mais simplement écouter ses choix et tenter au maximum de les respecter pour que votre enfant se sache respectable.

5 – RESPECTEZ LE RYTHME de votre enfant.

Il existe une multitude de tempérament possible et chaque enfant, chaque personne est unique !

Vous avez votre propre rythme, votre enfant à le sien.

Ils sont peut être complètement différents et c’est tant mieux. Il peut vous permettre d’apprendre mille choses.

Ne tentez pas de calquer le rythme de votre enfant sur le votre, restez ouvert(e) à son expression personnelle qui fait toute son identité.

6 – Consacrez du TEMPS à votre enfant.

L’un des meilleurs moyens de renforcer le lien qui vous unit à votre enfant est indéniablement de passer du temps avec lui.

A travers le jeu, la pratique d’un sport ensemble, d’une activité, de la lecture, de la musique…

Dégagez vous une plage commune chaque jour pour partager et entretenir votre relation.

 

7 – ENCOURAGEZ votre enfant.

Evidemment me direz-vous et pourtant pas tant que ça.

Dans le quotidien, l’encouragement passe par les mots que vous utilisez pour vous adresser à votre enfant et également pas vos attitudes.

Soyez attentif à ceux-ci et entretenez votre relation en étant vigilant(e) à votre vocabulaire et vos gestes.

Si votre enfant pense qu’il peut réaliser quelque chose et que vous êtes tenté(e) de lui dire « mais tu ne peux pas. arriver », abstenez vous.

Il sera plus bénéfique pour lui de faire son expérience seul que d’entendre de votre bouche des découragements !

De même s’il renverse quelque chose ou casse un objet, rappelez lui que la plupart du temps, il est très adroit !

8 – Cultivez la JOIE.

Soyez vigilant(e) à l’énergie que vous dégagez chez vous.

Il y a des jours où rien ne va comme vous voulez et c’est ok mais tentez la plupart du temps de vous montrer souriant(e) et de rire de ses pitreries !

Laissez votre enfant dans son univers et donnez lui envie de grandir en affichant votre sourire et votre bonne humeur.

Cela cultivera également votre joie personnelle !

9 – ECOUTEZ votre enfant.

Enfin, prenez le temps et surtout portez votre attention sur le discours de votre enfant.

Ecoutez réellement ce qu’il a à vous dire.

Votre relation n’en sera que renforcée et votre enfant aura davantage envie de vous parler s’il vous voit attentif(ve) !

Vous avez des astuces pour cultiver l’amour avec vos enfants, n’hésitez pas à partager en commentaires sous l’article.

Comment aider votre enfant à réaliser ses rêves ?

Et ne pas passer à côté de ce qui compte vraiment pour lui !

 

On partage notre quotidien avec un conjoint, une conjointe, des enfants et il est tout à fait possible, dans notre mode de vie actuel à cent à l’heure de passer complètement à côté de l’essentiel.

Chaque membre de votre tribu évolue, grandit et ce n’est pas parce qu’il vous semble connaitre beaucoup de choses sur eux que cela est valable pour la vie entière.

Vous ne pouvez pas non plus vous questionner tous les jours et faire subir un interrogatoire à votre enfant afin d’être sûr(e) de ne pas passer à côté de ses rêves les plus profonds.

En même temps, il est essentiel, pour rester connecté à ceux que vous aimez de suivre leur évolution.

 

Un bon moyen de rester en contact avec les désirs de vos proches et de créer ensemble un « tableau de rêves » ou « dream board ».

C’est aussi un excellent moyen pour chacun de se rendre compte de ce qu’il y a enfoui au fond de vous.

 

Le principe est simple :

 

  • Soumettez votre idée à vos enfants.

Il s’agit d’une activité à faire ensemble, à partir du moment où votre enfant sait utiliser un tube de colle jusqu’à un âge indéfini. Elle permet de mettre en forme une belle création artistique et surtout de poser les rêves de chacun.

La plupart du temps, on sait quels sont nos rêves ou désirs profonds mais il y en a qui s’en vont, d’autres qui arrivent et certains qui restent indéfiniment dans nos têtes.

Ce tableau est une création qui est à conserver par chacun pour garder à l’esprit ses propres rêves, ce qui est vraiment important.

 

 

Il peut être refait régulièrement, selon l’envie et le besoin de chacun. Il permet de se recentrer sur ses priorités et de rester aligné.

Il est facile à réaliser et peut être fait à tout âge.

 

  • Proposez quelques jours (2-3 jours ou une semaine selon la possibilité de votre organisation) pour récolter des images et textes.

L’idée est de mettre de côté un ensemble de magasines que vous lisez habituellement ou qui vous plaît, des journaux, cartes postales…

Vous pouvez également imprimer ou recopier des textes qui vous inspirent.

C’est la phase de récolte.

 

  • Réunissez-vous et passez à la création.

Vous avez en votre possession votre récolte de journaux, magasines, textes … et vous allez pouvoir mettre en forme vos désirs.

Munissez-vous d’une grande feuille, d’une paire de ciseaux et d’une colle.

A présent, feuilletez votre récolte et découpez les images qui vous inspirent, les textes qui vous parlent, font écho en vous.

Ne réfléchissez pas à une stratégie quelconque. L’objectif est de laisser parler votre inconscient.

 

 

Regardez simplement et laissez vous guider par votre intuition, votre inspiration.

Mettez en place vos images et vos textes sur votre feuille. Regardez le rendu visuel et faites en sorte qu’il vous plaise.

Vous pouvez tout à fait ajouter des phrases manuscrites entre les images, des post-it de couleur par exemple ou tout autre chose qui vous plaît.

Votre dream board prend forme. Continuez jusqu’à ce que tout l’espace de votre feuille soit rempli. Si cet exercice vous semble difficile, si vous vous sentez « bloqué(e) », vous pouvez le faire en écoutant une musique qui vous inspire. Elle vous aidera à vous connecter à vos émotions.

 

  • Observez

Une fois votre création terminée, il ne vous reste plus qu’à l’observer.

Prenez le temps de vous attarder sur chaque image que vous avez choisie, sur chaque texte et demandez-vous ce à quoi il vous renvoie dans votre vie.

Les choix que vous avez fait parlent de vous, ils représentent forcément quelque chose pour vous qui a de l’importance.

La aussi, si rien ne vous vient à l’esprit en le regardant la première fois, ce n’est bien sûr absolument pas grave !

 

 

Et peut-être qu’au contraire vous y découvrirez des trésors.

 

  • Accrochez-le

Mettez votre tableau dans un endroit que vous fréquentez beaucoup dans votre chez vous.

Il peut s’agir de votre chambre, d’un couloir, ou de la cuisine. Peu importe.

L’essentiel est que vous le voyez chaque jour afin de vous en imprégnez quotidiennement.

Il est fort possible qu’en le regardant régulièrement, de nouvelles idées apparaissent en vous.

 

Partagez en commentaires sous l’article vos créations et découvertes dans cette activité.

Vous pouvez être surpris(e) de la création de vos enfants et découvrir de belles choses.